Auriez-vous imaginé un seul instant que la peau était l'organe le plus volumineux du corps humain ? Vous portez en moyenne chaque jour 4kg de peau ! Si on la dépliait totalement sur le sol [beurk] cela représenterait 2 mètres carrés de surface... Mais cette masse cutanée n'est pas seulement importante parce qu'elle prend de la place. En effet, partout dans le monde et depuis la nuit des temps, la peau est un véritable support de communication. Hommes et femmes ont, depuis toujours, eu recours à des pigments pour maquiller leur visage et leur corps. Leurs objectifs ? D'une part, s'embellir. D'autre part, marquer des circonstances particulières de la vie comme les mariages ou les rituels funéraires. Aujourd'hui, plus simplement, votre enveloppe cutanée incarne votre identité. Elle est le reflet de votre mode de vie, de votre stress, de votre état de santé et de votre âge. Elle trahit même vos émotions. C'est elle qui vous sépare du monde extérieur et vous donne des informations sur ce dernier via les 2000 capteurs par cm2 qui s'y trouvent. Telle un bouclier, elle vous protège des agressions. Et pourtant, cette fidèle défenseuse n'en demeure pas moins fragile : il faut la bichonner. Mieux la comprendre pour mieux l'entretenir, c'est ce que nous vous proposons dans cet article.
Vue de l'extérieur, la peau revêt un aspect lisse. On ne soupçonne pas un instant toute la complexité qui s'y cache. Munissez-vous d'un microscope au plus faible grossissement pour observer son extrême finesse. Comment se douter que cet unique millimètre d'épaisseur est en fait un sandwich microscopique ? Un véritable mille-feuilles ? Un immeuble à 5 étages ? Lorsqu'on zoom encore, les différentes couches qui constituent ce tissu aux mille mystères se dessinent, ainsi qu'un nombre incroyable de cellules et de fibres qui entrent dans leur composition. L'intérêt de cette division en couches réside en un partage des tâches équitable et dans une véritable synergie d'actions inter-couches. Toutes ensemble, elles agissent pour maintenir une bonne fonction de la peau.
Prenons l'ascenseur qui traverse les couches de notre peau, de la plus profonde vers la plus externe et arrêtons nous à chaque étage.
1) Au rez-de-chaussée : l'HYPODERME
Cette première épaisseur sur laquelle repose les autres et celle que vous aimez le moins car elle renferme de la graisse. Il s'agit en fait d'un tissu de réserve. En d'autres, termes, quand vous avez besoin d'énergie, le corps va chercher les graisses de ce tissu pour les transformer en énergie. Cela est permis grâce à des cellules particulières capables de stocker et de déstocker. C'est donc à ce niveau là que se joue la perte et la prise de poids. Cette couche graisseuse entremêlée à des vaisseaux sanguins est notre manteau 100% naturel qui nous protège des variations de températures.
2) Premier étage : le DERME
Le derme en impose puisqu'il est en proportion nettement plus important que les autres couches. Il peut être assimilé au matelas de la peau qui contient tous ses éléments structurels (charpente, ressorts, mousse, ...)
a) Matrice extracellulaire
Le derme est composé d'une matrice extracellulaire, une sorte de gelée dans laquelle baigne tous ses composants : fibres de collagène et d'élastine et acide hyaluronique. Cette substance joue un peu le rôle de la mousse contenue dans le matelas qui soutient les autres éléments et apporte le confort.
b) Fibres de collagène
Les fibres de collagène, tels les ressorts du matelas, viennent apporter de la structure à ce matelas dermique. Elles confèrent donc à la peau sa solidité et sa fermeté mais aussi son élasticité et sa souplesse. Elle peut alors être déformée sans être altérée et revenir à son état initial.
Quand on est enfant ou jeune, notre peau est tendue et donc lissée et élastique. A chaque mimique (lorsqu'on parle, sourit, grimace, plisse les yeux), il s'installe des plis temporaires. La peau revient ensuite facilement à son état tendu initial car le capital collagène est intact. Les fibres travaillent bien et assurent correctement l'élasticité parfaite de la peau pour éviter la persistance des plis et donc les rides.
Puis au cours de la vie, les premiers signes de l'âge se manifestent en impactant les propriétés physiques du derme. En effet, lorsqu'on vieillit, les cellules cutanées perdent de leur vigueur et synthétisent moins de collagène. De plus, les fibres existantes sont altérées. Chaque année de vie de plus, c'est 1% de notre capital de collagène en moins. Ainsi à 80 ans, 75% de notre capital collagène se sont envolés. Résultat ? La peau perd en fermeté et en élasticité, se relâche et se plisse. Elle revient de moins en moins bien à sa position initiale. Dès 30 ans, les premières rides se dessinent. Il est donc important de préserver son capital collagène le plus longtemps possible en apportant du collagène à son corps ou en stimulant sa synthèse naturelle. Chez Reborn, nous avons opté pour la deuxième option, plus pérenne et plus efficace. Nos gummies perfecteurs de peau Gold & Glow contiennent de la vitamine C, reconnue pour stimuler la production naturelle de collagène par le corps. De quoi vous garantir la jeunesse éternelle.
Attention également à la surexposition aux rayons solaires qui pénètrent les tissus et accélèrent la détérioration du collagène, ralentissent sa production et donc aggravent le phénomène de vieillissement.
c) Acide hyaluronique
Les fibres de collagène sont associées à des molécules d'acide hyaluronique qui détiennent le fabuleux pouvoir d'absorber 1000x leur poids en eau, comme une super-éponge. Cela va permettre d'hydrater la peau en profondeur. Cet élément absorbant maintient également les différentes fibres composantes du matelas dermique ce qui lui permet de garder sa fermeté et sa tonicité.
d) Fibres élastiques
Que seraient les fibres de collagène sans les fibres d'élastine ? D'autres ressorts, différents mais complémentaires agissant en parfaite osmose pour garantir une capacité d'étirement optimale de la peau.
e) Follicules pileux
Poils, cils et cheveux se forment à l'intérieur de petites gaines creusées dans le derme : les follicules pileux. Ces cavités se poursuivent dans l'épiderme avec les pores, formant ainsi une sorte de conduit entre le derme et l'épiderme.
Les poils jouent aussi un rôle dans le maintien de la température corporelle. Lorsqu'il fait froid, nous frissonnons. Les muscles horripilateurs situés au niveau du derme se contractent. Cette action provoquent un réchauffement des tissus au niveau de la peau. Quand ces muscles se contractent, les poils se redressent : on a la chair de poule. Le redressement des poils permet d'emmagasiner davantage d'air qui sert alors de protection thermique, comme l'air aujourd'hui sur un double vitrage. Les poils sont donc un héritage de nos ancêtres préhistoriques qui étaient beaucoup plus poilus que nous et beaucoup moins vêtus. Leur corps s'était alors adapté à l'environnement avec les poils comme régulateur de température. Aujourd'hui le redressement des poils et un mécanisme naturel mais leur quantité étant moins importante, cela ne permet plus de se protéger aussi bien du froid. On doit donc se rajouter une petite fourrure sur le dos.
g) Glandes sébacées
Des glandes sébacées sont rattachées au conduit folliculaire dans le derme. Elles produisent le sébum, un liquide très important dans la formation du film hydrolipidique, la dernière couche de la peau. Des organes sécréteurs responsables des points noirs, papules et pustules, ces disgracieuses imperfections.
En temps normal, le sébum produit par ces glandes est sensé, en s'écoulant, évacuer des débris de cellules de peaux mortes. Il arrive que ces derniers s'agglomèrent et bouchent le follicule pileux. Rien n'est alors visible côté "face". En revanche, ça se gâte côté "pile". En effet, le sébum ne pouvant s'évacuer s'accumule à l'intérieur de ce réservoir où vont également se développer des bactéries. A ce stade, deux cas de figure possibles :
- Le comédon, c'est à dire le sébum transformé par les bactéries réussit à percer le bouchon. Il se forme alors un point noir qui finira par disparaître.
- Le follicule pileux reste désespérément bouché. Le réservoir éclate à l'intérieur de la peau. C'est la réaction immunitaire qui va provoquer l'inflammation des tissus.
A noter qu'il ne faut jamais percer un bouton pour de nombreuses raisons : on le fait très mal, on ne voit pas bien, on n'a pas les instruments qu'il faut et bien souvent cela donne une petite marque qui peut rester. C'est au médecin ou au dermatologue de décider si il faut retirer les points noirs et les boutons blancs en faisant ce que l'on appelle un nettoyage de peau dermatologique.
L'acné touche 80% des adolescents, filles ou garçons mais injustement certains plus que d'autres. Il s'agit d'un phénomène normal car les hormones de la puberté stimulent la sécrétion de sébum. Il est notamment visible sur le dos, le thorax et le visage car ce sont des zones très peuplées en glandes sébacées. Mais pas d'inquiétude, l'acné n'est pas une maladie infectieuse et n'est donc pas contagieux. Certes, dans la lésion de l'acné il y a des microbes mais ce sont des habitants normaux de la peau qui se sont un peu plus développés. Il est donc inutile d'utiliser des produits antiseptiques comme le font certains pensant bien faire. En revanche, si on a beaucoup de boutons il est préférable de se soigner avec un traitement adapté.
g) Glandes sudoripares
Les glandes sudoripares sont productrice de sueur. Cette dernière joue un rôle clé dans le maintien de la température corporelle optimale à 37°C. Car oui, le corps est équipé d'un thermostat. Et, lorsque nous franchissons cette limite, lors de fortes chaleurs ou d'un effort physique, nos 3 millions de glandes sudoripares se mettent en action pour nous faire transpirer. Car en transpirant, contre-intuitivement, on se rafraîchit. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, la sueur n'évacue pas la chaleur : ce n'est pas de l'eau chaude qui sort des pores. Le refroidissement s'opère par un autre phénomène physique. La sueur sort des pores et se répand sur la peau pour s'évaporer. Pour passer de l'état liquide à l'état gazeux il lui faut de l'énergie qu'elle va pomper dans la peau sous forme de chaleur. Ainsi, la température est maintenue à 37°C. Pour favoriser ces échanges thermiques, les vaisseaux sanguins se dilatent. Etant donné qu'ils sont plus volumineux, on est beaucoup plus rouge.Pour la petite anecdote, beaucoup d'autres mammifères transpirent peu ou pas du tout. Ils ont d'autres systèmes de refroidissement. L'éléphant se sert de l'eau de son bain et agite ses grandes oreilles pleines de vaisseaux sanguins pour évacuer la chaleur de tout son corps. Le chien, quant à lui, se refroidit par la langue.
Enfin la sueur permet d'aider à évacuer les impuretés, notamment les impuretés solubles dans l'eau pour les amener vers l'extérieur de la peau.
Ainsi par jour, on perd près d'1/2 litre d'eau et cela peut monter jusqu'à une perte de 3 litres en quelques heures lors d'un marathon par exemple. D'où la nécessité de bien s'hydrater.
h) Les récepteurs sensoriels
On retrouve également au niveau du derme plus de 2000 capteurs par cm2 connectés au cerveau : certains sont sensibles à la pression, au toucher, au froid, à la chaleur. Cela permet de nous donner des informations essentielles sur le monde extérieur, notamment grâce aux mains et aux doigts qui sont les plus sensibles.
3) 2ème étage : l'EPIDERME
a) Composition : un mur de brique et de ciment
L'épiderme est un ensemble de cellules vivantes appelées kératinocytes organisées sous forme de briques pour assurer la cohésion de l'épiderme. Entre ces briques on trouve un ciment lipidique qui participe aussi à l'effet barrière. Avec l'âge, l'épiderme devient moins épais et s'amincit.
b) Mécanisme de coloration de la peau
A la base de l'épiderme, on retrouve les mélanocytes, des cellules spécialisées qui arrête une partie du rayonnement solaire en produisant des pigments de mélanine. Par ce mécanisme de protection, ils sont responsables de la couleur de la peau.
Il existe deux types de mélanine : les pigments bruns et les pigments rouges.
Suivant les types de peaux, leur proportion est différente, ce qui détermine la couleur de la peau.
Type de peau | Composition en pigments |
Peau blanche avec tâches de rousseurs | Uniquement des pigments rouges qui s'amassent par endroit |
Peau claire | Equilibre pigments bruns/pigments rouges |
Peau mate | Davantage de pigments bruns que de pigments rouges |
Peau noire | Uniquement des pigments bruns répartis dans tout l'épiderme. Pas de pigments rouges. |
Peau asiatique | Uniquement des pigments bruns concentrés à la base de l'épiderme. La peau reflète alors légèrement jaune. |
La couleur de peau est le résultat d'une longue adaptation au climat en fonction de l'origine géographique. Ainsi, au niveau des tropiques, là où le soleil est très fort, la tendance sera à la peau noire pour une protection maximale contre les UVs. A l'inverse, dans les zones plus tempérées, là où le soleil est moins fort, la peau sera à tendance claire. Entre les deux, il existe une infinité de couleurs de peaux différentes car les vaisseaux sanguins, plus ou moins visibles par transparence influencent aussi la coloration.
Lorsqu'on s'expose au soleil dans l'objectif de bronzer, on exploite une réaction naturelle du corps destinée à nous protéger : on stimule les mélanocytes qui produisent davantage de pigments bruns pour arrêter une partie du rayonnement. Cela colore la peau. Mais cette excès de soleil peut causer des dégâts car la mélanine est dans l'incapacité de filtrer tous les rayons solaires. Ceux qui arrivent à passer peuvent endommager les cellules de notre peau et provoquer des cancers. On recense 80 000 nouveaux cas tous les ans et certains sont mortels. C'est pour ça qu'il faut protéger sa peau dès l'enfance en évitant de s'exposer aux heures les plus chaudes et en mettant régulièrement de la crème même sous un parasol. Un complément alimentaire riche en antioxydants (comme l'Absolu Solar by REBORN PARIS) peut aider à stimuler les mécanismes de défense du corps contre les rayonnements nocifs.
d) L'acide hyaluronique et les récepteurs sensoriels
Comme le derme, l'épiderme contient également de l'acide hyaluronique ainsi que des capteurs sensoriel sensibles à la douleur.
e) La transformation de l'épiderme en couche cornée
L'épiderme vit et meure et donne naissance à la couche cornée, une couche de cellules mortes à la surface de la peau. Les étapes de la transformation de l'un à l'autre sont les suivantes :
La naissance | L'épiderme est composé de cellules qui se transforment au fil des jours et se renouvellent à un rythme régulier. Ainsi chaque cellule voit le jour dans la couche basale (à la base de l'épiderme). |
La division cellulaire | Les cellules se divisent en deux et une des deux cellules est expulsée vers le haut ce qui fait remonter d'un cran les autres couches qui se trouvent au dessus. |
La migration | Ainsi de divisions en divisions les cellules migrent lentement vers la surface. |
La transformation |
Au cours de leur voyage elle se transforment : 1) Aplatissement 2) Chargement en kératine 3) Durcissement 4) Création de ponts entre les cellules |
La mort |
Arrivées à la fin de leur course en surface, les cellules perdent leur noyau et meurent ce qui forme la couche cornée, un enchaînement de cellules mortes, plates et dures appelées cornéocytes qui forme une véritable enveloppe protectrice. |
3) 3ème étage : la COUCHE CORNEE
La couche cornée est l'enveloppe extérieure protectrice de notre peau, une véritable barrière d'un centième de millimètre qui sépare l'organisme du milieu extérieur. Parsemée de petits trous appelés pores, elle laisse la peau respirer tout en la protégeant. Cette couche de cellules mortes issue de l'épiderme se renouvelle toutes les 3 semaines. En effet, les cellules sont inexorablement poussées vers la surface par les cellules migrantes de l'épiderme et elles finissent par se détacher. On appelle cela le phénomène de desquamation. Chaque jour nous perdons 2 couches de cornéocytes et en 70 ans notre épiderme se sera renouvelé plus de mille fois avec une perte de plusieurs kilos de cellules.
En utilisant un gant de crin ou en faisant des gommage, on accélère le processus de renouvellement épidermique pour une vraie peau de bébé. Les vitamines B9, B12 et D et le zinc contribuent à la division cellulaire pour accélérer le renouvellement.
Cette faculté de régénération cutanée exceptionnelle a été mise à profit par les chercheurs pour fabriquer de la peau en laboratoire. Ils prélèvent quelques cellules de peau et la mettent en culture dans des tubes avec "plein de bonnes choses à manger". On assiste alors à une multiplication cellulaire jusqu'à la formation de morceaux de peau. Ces derniers sont très utiles pour remplacer des peaux lésées ou brûlées. En 3 semaines on peut produire suffisamment de peau pour remplacer celle d'un patient brûlé sur plus de la moitié de son corps. Même si malheureusement la qualité esthétique ne sera jamais la même que la peau d'origine, cela permet de sauver des vies.
4) 4ème étage : le film hydrolipidique
Lorsqu'on met une goutte d'eau sur notre main, la goutte d'eau ne s'étale pas et ne pénètre pas dans la peau, comme sur une toile cirée. Pourquoi ? Parce que notre peau est recouverte d'un film gras pratiquement invisible que l'on appelle le film hydrolipidique. Ce dernier joue le rôle d'une barrière protectrice, résistante et imperméable. Issu du mélange entre le sébum et la sueur, ce film a une double utilité. Premièrement, il empêche l'eau de pénétrer dans l'organisme. Heureusement, car sinon, à chaque bain on se remplirait d'eau. Deuxièmement, cette couche retient l'eau contenue dans le corps évitant ainsi la déshydratation.
La présence de ce film explique pourquoi nos doigts se fripent quand on reste trop longtemps dans l'eau. Comme ce dernier est constitué de sueur, soluble dans l'eau, au contact prolongée avec cette dernière, il se dissout. L'eau peut alors pénétrer dans l'organisme et les cellules se gorgent de liquide. Comme la peau est très épaisse au niveau des doigts du fait d'un grand nombre de cellules, le phénomène de déformation est plus visible. Ce changement d'aspect est heureusement réversible. En effet, à la sortie du bain, l'eau s'évapore et le film hydrolipidique se reconstitue.
Ce rempart est primordial dans l'entretien de notre microbiote cutané, nos microbes "amis" qui empêchent les microbes "ennemis" pathogènes de s'installer. Nos chers défenseurs se nourrissent du sébum et de la sueur pour prendre des forces pour partir au combat. Attention à ne pas utiliser des savons décapant qui leur enlèverait leur nourriture et donc la protection de notre peau. Car l'acidité de ce film, si elle ralentit le développement de certaines bactéries pour lutter contre certaines maladies, n'est cependant pas suffisante sans nos fidèles alliés microbes.
Après ce voyage en ascenseur au travers des 5 couches de votre peau, cette dernière n'a plus de secrets pour vous : vous la comprenez et c'est le meilleur moyen pour en prendre soin. Si la cosmétique agit sur la couche de cellules mortes appelée couche cornée, la nutricosmétique permettra une action plus profonde sur le derme et l'épiderme, pour stimuler votre production d'acide hyaluronique et de collagène, responsables du vieillissement. Elle régulera votre production de sébum cause première des boutons. A vos gummies ? Prêt, feu, go, mâchez !